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#changementclimatique

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Une centaine de manifestants s’étaient réunis devant l’usine de Blainville pour s’opposer au projet de loi du gouvernement Legault qui permettrait à Stablex d’agrandir son dépotoir où sont enfouis des déchets dangereux. L’agrandissement se ferait près d’une tourbière

ledevoir.com/environnement/855

Le Devoir · Des citoyens manifestent devant StablexIls s’opposent au projet de loi du gouvernement Legault qui permettrait à Stablex d’agrandir son dépotoir à Blainville.

Plusieurs Premières Nations du Québec réclament la suspension immédiate de la modernisation « opaque et unilatérale » du régime forestier menée par le gouvernement Legault. Craignant d'être « dépossédés » de leurs droits ancestraux dans les forêts québécoises, elles encouragent la province à refaire ses devoirs si elle veut « soutenir la paix sociale »

ici.radio-canada.ca/nouvelle/2

Le drapeau des Warriors flotte dans la communauté mohawk de Kanesatake, située près de Montréal.
Radio-CanadaQuébec risque « un autre Oka » avec le régime forestierPlusieurs Premières Nations du Québec réclament la suspension de la modernisation « opaque et unilatérale » du régime forestier menée par le gouvernement.

Climat : le niveau des mers a augmenté plus que prévu en 2024

Selon la Nasa, le niveau des océans a augmenté de 0,59 centimètre l'an dernier, alors que les scientifiques tablaient sur 0,43 centimètre. Plus que la fonte des glaces, c'est la dilatation de l'eau due à la chaleur qui est en cause

lesechos.fr/industrie-services

#Écologie 🌱 L’adaptation au chaos climatique victime de l’austérité budgétaire

La ministre de l’écologie a présenté lundi le plan national d’#adaptation au #ChangementClimatique. Mais les financements alloués à cette feuille de route pour préparer la France à + 4 °C sont très insuffisants et, pour certains, empiètent sur ceux fléchés pour diminuer les émissions du pays.

mediapart.fr/journal/ecologie/

Les coupes américaines auront des conséquences sur les prévisions météo canadiennes

Un météorologue qui avait appelé le maire de Port aux Basques, à Terre-Neuve, pour lui recommander d’évacuer les résidants habitant sur la trajectoire de la tempête post-tropicale Fiona en 2022 affirme que les coupes aux services météorologiques américains pourraient avoir des répercussions au Canada atlantique, une région sujette aux ouragans

ledevoir.com/environnement/854

Le Devoir · Les coupes américaines auront des conséquences sur les prévisions météo canadiennesDes centaines de météorologues et d’autres employés de l’agence américaine NOAA ont perdu leur emploi.

Notre prochain #Jeudi : @achimlandwehr (@unikonstanz), Les temps de l’histoire. Quelques réflexions face à la crise climatique.

Commentaire: Christophe Bouton (@ubmontaigne)

13 mars | 18h | format hybride | traduction ALL-FR

dhi-paris.fr/fr/informations-d

"Quand sommes-nous réellement?" Explorez le travail d'Achim Landwehr sur son blog Hypotheses : vonwelt.hypotheses.org/

#histodons @histodons #changementclimatique

Dans un contexte marqué par des événements climatiques extrêmes, comment développer des énergies #renouvelables dont le fonctionnement dépend justement très largement de la météorologie ?
Cet ouvrage interdisciplinaire se penche sur cette question de la relation entre #météorologie et #énergie, en dressant un bilan, et proposant des solutions techniques.
Plus d'infos sur 'La météo, ennemie ou amie de la transition énergétique?' : buff.ly/4aL4m7i
#changementclimatique

Dans un contexte marqué par des événements climatiques extrêmes, comment développer des énergies #renouvelables dont le fonctionnement dépend justement très largement de la météorologie ?
Cet ouvrage interdisciplinaire se penche sur cette question de la relation entre #météorologie et #énergie, en dressant un bilan, et proposant des solutions techniques.
Plus d'infos sur 'La météo, ennemie ou amie de la transition énergétique?' : buff.ly/4aL4m7i
#changementclimatique

En me promenant cet après-midi, on a encore parlé neige avec quelques anciens qui marchaient sur les mêmes chemins.

Ou plutôt de l'absence totale de neige, et des hivers d'antan.

Je crois que c'est la première fois depuis que je vis en Auvergne où je n'ai pas chaussé les skis ou les raquettes cet hiver (excepté une fois en novembre). La petite station nordique où je travaillais dans le Cantal (au Ché) à la saison censément froide n'a même pas ouvert ses pistes cette année. À l'étage au-dessus, au col de Prat-de-Bouc, à 1400m (où je travaillais aussi de temps en temps), les pistes ont été fermées à la mi-février (et l'enneigement global aura été de toutes façons très modeste).

Depuis quatre ou cinq ans, c'est la même chanson : il peut neiger bien sûr, suffit de températures autour de zéro degré et des précipitations. Ça arrive, et ça arrivera encore dans le futur. Chaque année, bon an mal an, on a droit à une tempête de neige, qui apporte une couche plus ou moins copieuse (j'ai des souvenirs d'un mètre cinquante de neige tombé en deux jours et une nuit). Le problème n'est pas là. Le problème c'est que cette couche fond à la vitesse du réchauffement climatique. La plupart du temps, pour ne pas dire immanquablement, l'épisode est suivi d'un accès de douceur, avec vent du sud et parfois de la pluie, cocktail irrésistible pour faire fondre toute l'épaisseur de neige que vous voulez (alors que naguère, cette couche pouvait demeurer en place durant plusieurs mois - j'en ai été témoin dans la première moitié des années 2000, c'était il n'y a donc pas si longtemps).

Quand j'ai quitté le Cantal, en 2019, il y a très exactement, jour pour jour, 6 ans (déjà !), on ne se faisait aucune illusion sur l'avenir de nos stations et de l'enneigement en moyenne montagne.

Les élus, les collectivités locales (et surtout les propriétaires de gîte, de restaurants, et de résidences secondaires => cf le message d'Allucia tout à l'heure :
eldritch.cafe/@alluccia/114093 ), s'accrochent avec plus ou moins de ténacité à je ne sais quel espoir (en réalité, les élus finissent par retoquer les budgets, voire décident de fermer purement et simplement : un territoire comme le Cantal vit sous perfusion économique, et le tourisme hivernal coûte désormais plus qu'il ne rapporte. Le récit du grand ruissellement de l'économie des stations sur toute la population autochtone ne tient plus la route (a-t-il été jamais autre chose qu'un mythe capitaliste bourgeois ?) : la vérité, c'est que les investissements des collectivités locales dans les sports d'hiver non seulement profitent d'abord à une clientèle aisée (typiquement encore une subvention déguisée destinée à accroître le bonheur des classes assez privilégiées pour se payer des vacances d'hiver) mais aussi aux propriétaires de gîtes, d'hôtels, de restaurants, etc... Qui ne font pas partie du prolétariat en général. Bref, c'est de l'argent public siphonné et redirigé vers des populations qui ne souffrent pas de la pauvreté, c'est le moins qu'on puisse dire.

Et ça devient non seulement indécent, mais absurde, quand la neige vient à manquer - sans parler des impacts environnementaux, l'accaparement de l'eau par les stations de ski alpin, les dégâts sur la flore et la faune, l'emprise territoriale de la station (et si l'on prend en compte les "externalités", les impacts en amont et en aval de l'activité proprement dite, la note est plus que salée - beaucoup plus qu'on daigne le reconnaître - comme d'habitude).

Bref.
N'empêche, une année sans ski de randonnée, ça fait longtemps que ça ne m'était pas arrivé. Certes, le déménagement, Iris qui vieillit (et moi aussi), ma répugnance à faire une heure de voiture pour aller prendre du plaisir sur la neige, cela aura aussi compté. Quand j'habitais dans le Cantal, à 1100 mètres d'altitude, il était plus facile de saisir l'occasion d'aller skier quand elle se présentait, parfois sur le pas de ma porte (et elle ne se présente, même sur les hauts-plateaux, que de plus en plus rarement). Mais ici, à 600 m, l'affaire est pliée.

Le Centre québécois du droit de l’environnement (CQDE) affirme que la décision du gouvernement Legault de déposer un projet de loi pour permettre à l’entreprise Stablex de détruire des milieux naturels pour stocker des déchets dangereux « va à l’encontre des principes démocratiques » et des engagements du Québec à protéger la biodiversité

ledevoir.com/environnement/850

Le Devoir · Des avocats spécialisés en environnement dénoncent le projet de loi en faveur de StablexLe gouvernement Legault a prévu des dispositions pour bloquer les poursuites contre Stablex.